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Сборник императорскаго Русскаго историческаго общества Т. 112 (290,00 руб.)

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Первый авторРусское историческое общество
Издательство[Б.и.]
Страниц802
ID82161
Русское, И.О. Сборник императорскаго Русскаго историческаго общества Т. 112 / И.О. Русское .— : [Б.и.], 1901 .— 802 с. — URL: https://rucont.ru/efd/82161 (дата обращения: 07.11.2025)

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Отъ Имп ратора Адександра I членамъ временнаго правит льства (в рющее письмо генералу Поццо-ди-Борго), Парижъ, 23 Марта (4 Апр ля) . <...> Отъ пего-же тому-же (частаое письмо), Парижъ, 7 Іюня (н. с), вторникъ, 9 часовъ утра . <...> L'Empereur Alexandre I"' aux membres du Gouvernement provisoire. <...> [Lettre tie creance chi general Pozzo di Borgo. <...> En m'6loignant de Paris, j'ai pense qu'il etait necessaire do pourvoir aux moyens d'6tablir les relations les plus suivies et les plus frequenles avec le Gouvernement proyisoire. <...> J'ai, a eel eflet. nomme mon generalmajor Pozzo di Borgo pour resider aupresdelni en qualite de Commissaire general. <...> Je vous invite, Messieurs, a ajouter foi a tout ce qu'il sera dans le cas de vous dire de ma part, et a me transmettre, par son entremise, toutes les communications que vous aurez a me faire. <...> II jouit de toute ma confiance, et lajuslifiera surement encore, dans cette occasion, en ne negiigeant aucun moyen de cimenter les rapports de paix et d'amitie si iioureusement retablis enlre la Russie et la France. <...> Monsieur men Frere, de longs travaux, de sanglanls combats, I'union et la Constance des Allies ont triomphe ; la main de la Providence les a guides, et le trone de France relourne a ses souverains legitimes. <...> Depuis ce moment mes voeux, d'accord avec ceux de la nation francjaise et du gouvernement provisoire, qui a vivement seconde nos efforts, ont efe d 2 18/30 AYIUL 1814 au devant do retour de Voire Majesle. <...> Ellc va se relrouver sur <...>
Сборник_императорскаго_Русскаго_историческаго_общества_Т._112.pdf
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Стр.2
ИШРЯТОРСКЯГО 1 ОЩЕШ іош .сто дімядцаши. .' • &штшрт¥>г%. '-і-А1901. •
Стр.3
Печатано no распоряженію Сов та ИМПЕРАТОРСКАГО Русскаго йсторичеокаго Общества подъ наблюденіемъ Предс дателя Общества A. А. Половцова. 2007088219 -5- ^ / ^ ГОСУДАРСТВЕННАЯ ТИПОГРАФІЯ, ^"S - ГПР .lAOPTDITUUA а ТІІПЛГП**ІО 55?,
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Предвсіовіе ПЕРЕПЙСКА. 1814. № 1. Отъ Имп ратора Адександра I членамъ временнаго правит льства (в рющее письмо генералу Поццо-ди-Борго), Парижъ, 23 Марта (4 Апр ля) 6 часовъ вечера . . , , Парижъ, 15 Мая . . № 2. Отъ него же Королю Людовику XVIII, Парижъ, S (17) Апр ля. № 3. Отъ генерала Поццо-ди-Борго гр. Нессельроде, Компьень, 18 (30) Апр ля, . № 4. Циркуляръ принца Талл йрана Французскимъ дипломатическиыъ аг итамъ, . . . . № б. Проектъ в рющаго письма генералу Поццо-ди-Борго, Парижъ, 18 (30) Мая. № 6. Отъ г нерала Поццо-ди-Борго гр. Нессельрод , Парижъ, 2S Мая (6 Іюня) . . № 7. Особое мн ніе геверала Поццо-дн-Борго, пер данное министру внутренннхъ д лъ Моятескыо, члену Коммисіи для выработки проекта Конституціи (праложеніе къ предъидущей д п ш ) № 8. Отъ генерала Поццо-ди-Борго гр. Нессельроде, Парижъ, 23 Мая (6 Іюня). . № 9. Отъ н го-же тому же {№ 4), Парижъ, 23 Мая (6 Іюпя) № 10. Отъ него-жетоиу-же (частно письио), ІІаришъ,б Іюня (н. с.) . . . . , . № 11. Отъ пего-же тому-же (частаое письмо), Парижъ, 7 Іюня (н. с), вторникъ, 9 часовъ утра . . . . № 12. Оіъ него-же тому-же {№ 3), Парижъ, 27 Мая (8 Іюня). № 13. Отъ него-же тоыу-же [№ 7), Парижъ, 27 Мая (8 Іюня) № 16. Отъ и го-же тому-же (частное письмо), Парижъ, четв ргъ, 9 Іюия ... . № 17. Огъ него-же тому-ж (частное письмо), Парижъ, 10 Іюня {а. с.) № 18. Отъ него-ж тому-же {№ 11), Парижъ, 1 (13) Іюня . № 14. Отъ него-ж тому-же {№ 8), Паришъ, 28 Мая (9 Іюня) ........ . № 16. Отъ него-же тому-же (.№ 9), Парижъ, 28 Мая (9 Іюня) .' . . '. . . . № 19. Отъ него-же тому-же (tNl 12), Парижъ, 1 (13) Іюня .......... ; № 20. Отъ него-жетому-же (частво письмо), 4 (16) Іюня № 21. Отъ гр. Нессельроде генералу Поццо-дн-Борго, Лондонъ, 10 (22) Іюня . . . (6 Іюля). № 22. Отъ него-же тому-же, Лондонъ, 10 (22) Іюня № 23. Отъ генерала Поццо-ди-Борго гр. Яессельроде {М 16), Парижъ, 24 Іюня . 1 1. 1. 2. S. 5. 6. 7. 9. 9. 10 11. 11. 12. 13. 13. 14. 14. 13. 21. 21. 23. 24. 25. XVII.
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2!) іжсюпшк 1815/10 ЛАЛ ІКП 181G 377 C'esl le baron de Stael, attache a la mission suedoise, qui le premier Га communiquee au club des jacobins anglais, preside par sir Robert Wilson. Celui-ci, qui est en rapport, avec Fambassadeur d'Angleterre, sir Charles Stuart, n'a pas manque de lui en faire la confidence. Lord Kinnaird Га fai t lire en secret an prince de Talleyrand, qui n'a pas 6t6 fuche de voir une intrigue de plus sur le ра б de Paris, et au due de Wellington, qui, par son bon sens et son discernement, I'a declare apocryphe au premier coup d'oeil, et m'en a рагіб dans cet esprit immediatement. Le Roi, les princes et les ministres ont ele les premiers a rejeter cette imposture; mais, malgre les invraisemblances qu'elle conlient et qui n'ont pas есііаррб a ceux qui ont quelque idee de mamaniere d'agir et de mon style, une partie considerable des societies secondaires surlout en a 6te inquietee, et il a fallu multiplier les demarches pour desabuser les esprits, Les auteurs de cette imposture, se voyant dejoues a Paris, onl decide de la faire publier a Londres dans les journaux. Votre Excellence verra, par les renseignements tires de la police et contenus dans le numero subsequent, avec quelle noirceur el quelle activite its s'en occupent, Pour mettre quelque obstacle a ce complot, j'ai informe M. I'ambassadeur comte de LieYen de toute cette intrigue par la lettre n0 2, et lui ai envoys une copie du libelle, afin qu'il puisse le demenlir, s'il parvient a etre publie avec des indications propres a faire supposer que jc puis en etre ГаіШиг. II existe dans le rapport de la police une circonstance qui m'a paru digne d'attention. Le chevalier Stuart est au nombre de ceux qui m'ont assure de la maniere la plus positive qu'ils regardent cette production apocryphe, telle qu'elle est en effet, et qu'il en 6crirait de meme a son gouvernement. Cependant il paralt que e'est chez lui qu'on la copie avec profusion, et qu'il Геп оіе sans necessit6 partout ou il a des correspondances. Pour ce qui regarde ces sortes de productions en elles-memes, Votre Excellence n'ignore pas qu'il existe a Paris des professeurs de libelles qui se vendent a tons les partis, et que I'usage d'en Jeter dans le public est un de ceux qui n'ont jamais 6t6 int errompus depuis la Revolution. La protection accordee a cette monarchie et I'interet eflicace employe en faveur de la restaiualion par Sa Majeste I'Empereur, Notre Auguste Mattre, 6tant une des bases les plus solides sur lesquelles repose la confiance de tons les Frangais dans leur avenir, les perturbateurs
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378 29 ВЁСЕЫІШЕ 1815/10 JANVIER 1816 etrangers, dont un grand nombre s'agite dans ceLle capitale, d'accordavec ceux de I'interieur, out saisi le moment de la discussion orageuse concernantl'amnistie, pour ajouter encore aux inquietudes publiques en inspirant des crainles, aulant qu'il dependait d'eux, sur la continuation de cette protection, dans I'espoir d'oter an Roi I'appui immense que lui donne I'amitie de la Russie et, j'oserai dire, I'emploi que je cherche a en faire pour le bien general. Quant au chevalier Stuart, quelle que soit son ignorance ou sa complicite dans cette affaire, j'ai lieu de croire que I'influence qu'il me voit exercer raoyennant la representation dont je suis invesli, la confiance qu'on m'accorde et le poids que doit apporter naturellement dans les affaires du moment lout serviteur z6l6 de Sa Majesty ГЕтрегеиг, blessent son bumeur jalouse et bautaine, et qu'ii ne serait pas facbe de voir diminuer ces avanlages, sans so faire scrupule sur les moyens, pourvu qu'il puisse reussir. En rendant un compte detaille a Votre Excellence de cette affaire, je dois ajouter qu'elle est a peu pres (5teinte a Paris. J'ignore si la cabale la reproduira a 1 etranger; dans ce cas je ne saurais faire autre chose que la dementir et la livrer au mepris qu'elle merite. № 364. Le general Pozzo di Borgo au comte de Nesselrode. f№ 60) Paris, 29 decembre 1815/І0Janvier 1816. Monsieur le Comte, j'ai I'bonneur d'adresser a Voire Excellence la continuation des rapports de la police secrete, concernant surtout la conspiration pcrmanenle des revolutionnaires anglais en France. Le gouvernement britannique est sans doute informe de toutes ces demarches. Que I'ambassadeur d'Angleterre regoive leurs confidences pour etre instruit ou qu'il encourage leur conduite, la verit6 est qu'ils sont en communication avec lui, et que le nombre en augmente surtout par I'accession des militaires. Le motif principal qui anime ceux-ci est la jalousie centre lord Wellinglon; ils savent que le Prince Regent n'a pas de sentiments vrais et g6n6reux enverslui, et cette persuasion les enhardit a former toutes les mauvaises intrigues qu'ils peuvent inventer. Ayant demands au chevalier Stuart sous quel rapport I'opposilion fixera son point d'attaque contre les ministres, al'egard du traite de Paris, il m'a repondu que lord Grenville leur reprochera d'avoir prefere I'argent
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29 DECEMBKE 1815/10 JINVIER 1816 379 a des acquisitions lerritoriales, el que ce sont les provinces frontieres et laligne militaire qu'il fallail arracher a la France el non quelques millions sleriles. Le ministere, sans doule, souliendra et juslifiera saconduite, mais de pareils deBats, sur un sujet qui inleresse la rivalite el flatte Fambition nalionale, ne peuvent manquer de laisser una forte impression sur le public, et le gouvernement se liendra pour averli de ne pas laisser passer une seconde occasion, si elle se presente. Les moyens infaillibles de faire avorler tous les mauvais desseins, et ceux qui existent et ceux que Ton pourrail combiner a I'avenir, sont sans contreditla sagesse el la moderation du gouvernement. J'ai observe qu'a I'instant meme OLI les inquietudes des parlis diminuenl, Fespril frangais augmente et prend son ascendant, el qu'on peut en appeler encore a des qualiles fortes el eslimables qui ne sont pas lout a fait eteintes dans la nation, si on sail les гб еіііег. II est de mon devoir de гёрбіег a Voire Excellence que la vigilance de noire gouvernement et Гашіііё bienfaisanle de SaMajesle ГЕтрегеиг, Notre Auguste Maitre, deviennent lous les jours plus necessaires a celle monarchie. Ses conseils seront suivis en proportion de I'inlerel qu'il daignera prendre au sort du Roi et de son pays, et araccomplissement de son ouvrage. № 365. Le general Pozzo di Borgo au comte de Nesselrode. • (№ 61) Paris, 29 decembre 1813/10 Janvier 1816. le r Monsieur le Comle, la garde royale a commence a faire le service, du Janvier, nouveau style. Le nombre qui existe dans Paris peul se monler a 6 000 hommcs environ, dont 1 500 de cavalerie. La lenue en est tres belle et on m'assure que les gens sont animes d'un bon esprit. Le resle des formations a lieu dans les provinces. Le scrupule qu'on apporte dans le choix etles difficultes nalurelles a ces sortes d'operalions exigeront encore Irois mois avant que ce corps soil au complet. En passant devant Montmartre, ou se trouve encore un poste anglais, le d6lacliement frangais a топігб de Гіггііаііоп. La garde nalionale, qui heureusement etait de service, el la prudence des officiers, ont ё ііб les inconvenients de cette rencontre dangereuse. La faction des jacobins anglais a cherche a repandre I'alarme, mais le due de Wellington I'a entierement assoupie.
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380 \П ІШУІЩ 1816 П existe encore a Paris deux brigades d'infanlerie anglaise. Elles auraient duparlir, d'apres les arrangemenls dont j'ai rendu compte a Voire Excellence. Les inquietudes de ces derniers jours avaient decide la conlinualion de leur presence; j'espere qu'on pourra les renvoyer bienlot sans inconvenienls, el que I'apparence de ceile force cessera d'elre n6cessaire. № 366. Le comte de La Moussaye au due de Richelieu. (№ d6) Saint-Petersbourg. I!j Janvier 1810. Monseigneur, I'Empereur s'esl rendu, il y a quelques jours, chez le marechal SollykofT, president du conseil des minislres. La nature des affaires qui out die Iraitees clans cette conference a amene, de la part du marechal, quelques observations sur la situation des finances de ГЕшріге, sur raccroissement progressif de I'armee qui absorbe tous les revenus de I'Elat, sur le mecontenlement que fail naitre Гаііепііоп presque exclusive que TEmpereur donne aux details mililaires, et le pen de temps qu'il consacre aux autres branches du gouvernemenl. Ces represenlations out deplu, et, le lendemain, un oukase a decide que le general d'Araktcbe'ieff presiderait le conseil des ministres, au lieu du mar6chal Sollykoff, aussi longtemps que la saute de ce dernier ne lui permeltrail pas d'exercer les fonclions de la place dont il conserve toujours le litre. Le credit du comte d'Araktcheieff n'a, dans ce moment, d'aulres bornes que celles qu'il parail vouloir y mettre lui-meme. Chaque jour, il Iravaille durant plusieurs heures avec Sa Majeste. II entre dans ses vues ayec le devouement absolu dont il fait profession pour sa personne. 11 flatle ses gouts mililaires et s'occupe de ['execution de ses plans avec une infatigable aclivite. L'ai'mee va recevoir une nouvelle organisation; les levees qui out ete ordonnees, il y a plusieurs mois, se poursuiveut sans reldche, et jamais Гбіаі mililaire dela Hussie n'aura otfert. une masse de forces aussi redoutable. L'epoque de Гаппбе a laquelle nous nous trouvons, et les alliances que contracle la familie ішрбгіаіе, donnenl lieu a des fetes sans nombre, dont Votre Excellence me saura gre de lui epargner la description. Ces fetes m'ont souvent fourni Toccasion de voir I'Empereur-, et je dois encore repeter a Votre Excellence que Sa Majeste m'a conslamment traite avec une bonte particuliere. Avant-hier, j'ai cte invite a i'Ermitage, et Ton s'est ecarte, dans cette circonstance, de la s6verit6 de I'^tiquelte qui excite les plaintes du corps diplomatique, et dont j'ai rendu compte a Votre Excellence dans ma depeche datce du 2 de ce mois.
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7/19 JAKVIER 1816 381 № 367. Le general Pozzo di Borgo au comte de Nesselrode. (№ 65) Paris, 7/19 Janvier 1816. Monsieur le Gomle, j'ai eu I'honneur d'mformer Votre Excellence, par ma depeche sub n0 59, du memoire apocryphe qui circulail sous mon nom, et des mesures que j'avais prises afia de metLre M. I'ambassadeur comle de Lieven dans le cas de le d6menlir, si (comme j'avais raison de le croire) les vrais auleurs de cette production la t'aisaienl inserer dans leur journal a Londres. Cetle supposition vient de se verifier. L'edUeur du Morning Chronicle a ose la puldier comme venant de moi; les autres gazettes out d6ja releve les invraisemblances et les conlradictions de cette rapsodie maligne et triviale, mais je n'ai encore regu aucun renseignement direct de la part de notre ambassadeur. La convenance, el, je dirai, la necessite d'etouffer unc pareille calomnie m'ont decide a reiterer mes instances aupres de I'M et areclamer de nouveau ses bons offices, moyennant la letlre dont la copie se trouve ci-joinle. L'arrestation du general Wilson, dont je parlerai plus au long clans le пиюбго suivant, les decouvertes faites par la saisie et I'examen de ses papiers, le mepris que le Roi, la Cour, et tons les gens de bien sans exception out jet6 stir cette basse intrigue, I'avaient d6ja etouffee a Paris, ou elle n'a produit aucune consequence; mais le public d'Angleterre a besoin peut-etre d'un desaveu soutenu et formel. Le due de Wellington croit qu'il conviendrait de poursuivre et de faire punir Tediteur du Morning Chronicle; il m'a dit n'atlendre lui-meme que I'avis de I'avocat general pour intenter un proces contre ce libelliste, a cause d'autres calomnies dont il est I'objet. Malgr6 le droit et le desir que j'aurais d'obtenir satisfaction d'une imposture aussi inique, je ne saurais me decider a des demarcbes qui ne manqueraient pas de faire un grand eclat, sans rautorisation souveraine. Dans tous les cas, Votre Excellence me permetlra de lui observer qu'il me parait convenable que la reponse qui me sera adressee sur cetle affaire par ordre de Sa Majeste Notre Auguste Maitre soit de nature a devenir publique, et qu'il faudrait m'y autoriser en consequence. Congue dans des termes que la sagesse ne manquera pas de suggerer, elle sera utile parce qu'elle decouragera ceux qui penseraient a repeter de pareilles mancEuvres a 1'avenir, et qu'elle dissipera ious les soupgons que des
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ПОПРАВКИ. Стр. 46 103 — 115 124 143 157 — 247 254 2S7 291 54» 550 593 642 648 659 668 669 714 Строт. 6 сверху 18 - 4 снизу 12 сверху 13 снизу. 8 сверху 11 сшізу 9 — 20 сверху 3 снизу, прим. 1 - 8 сверху 11 - " 5 снизу 3 - 14 сверху"» 19 - 16 - 9 8 - - 11 снизу 1 Ііапечатано. ademttre liiion particuMres Noalles Chateaubriand Zaignelins Tarayre Bourienue, (iranville anabassadeurs egaeiDouvres minislre onsieur referenaum Chateaubriad Serres Chateaubriand revolutio 'esperance Должт быть. admeltre Briou particulieres Noailles Chateaubriand Zaignelins Tavanne Bourienne, F. Leger Grenviile minis tres egalcLouvres rainistere Monsieur referendum Chateaubriand Serrc Chateaubriand revolation I'esperance Ііримтаніе. АШ депешъ 184, 189,190 и 191 ue бьыи доставлены no ішігачееію. /
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